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Accueil Webzine Littérature Le dimanche 16 novembre 2003 |
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Vaquette à un doigt du prix de Flore ou plus exactement à deux voix... sans être dans la sélection : ÉNORME !
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"Voici l’histoire, elle est réelle, elle est authentique, elle est énorme ! Il y a un peu plus d’un mois, à la stupeur générale, avouons-le (si, si), "Je gagne toujours à la fin", premier roman de l’IndispensablE, ne s’est pas trouvé dans la sélection du prix de Flore, prix qui a pourtant pour vocation de couronner le roman le plus zarb’ et le plus moderne de l’année, et qui conséquemment était évidemment promis au Prince du Bon Goût, d’autant qu’à ses début, il rivalisait d’audace et de discernement en ayant couronné coup sur coup Despentes, Ravalec ou Houellebecq (il est vrai que depuis il est revenu à Nicolas Rey et autres joyeusetés branchouilles à trois balles). La raison ? demandez-la à Frédéric Beigbeder, peut-être vous répondra-t-il - rires ! Précisons simplement que le vainqueur connu de tous depuis juin est édité par Flammarion, et que Beigbeder, en plus d’être président et grand manitou du prix de Flore, est directeur littéraire chez Flammarion -Vaquette ! qu’est-ce que t’es aigri d’oser colporter des faits aussi vrais et aisément vérifiables ! T’es limite mauvais joueur ! Passons. Tristan-Edern Vaquette, extrait de l’Encyclique vaquettienne, Bulle N°11 Lire la critique de Je gagne toujours à la fin sur le site Hermaphrodite Commander Je gagne toujours à la fin, éditions Le Diable Vauvert
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